[rank_math_breadcrumb]

PARTAGEZ

Les réseaux de recherche mondiaux transforment des câbles sous-marins en observatoire scientifiques

À travers l’Europe, le projet SUBMERSE démontre qu’un réseau de télécommunications peut devenir bien plus qu’une infrastructure technologique : il peut devenir un instrument scientifique mondial. Grâce à l’accès offert par plusieurs Réseaux Mondiaux de Recherche et d’Éducation (RMRE), des câbles sous-marins sont aujourd’hui utilisés pour mesurer des tremblements de terre, suivre les mouvements des océans et même enregistrer les chants des baleines
 
En Norvège, au Portugal et en Grèce, les réseaux de télécommunications dédiés à l’enseignement supérieur, l’éducation et la recherche, qui s’apparentent au réseau québécois du RISQ, permettent maintenant de capter en continu des signaux sismiques et océaniques dans des zones parmi les plus difficiles au monde à observer. Cette utilisation des câbles sous-marins ouvre de nouvelles capacités pour la recherche climatique, l’étude des risques naturels et la connaissance des océans. 
 
Ce projet met en lumière un rôle clé des RMRE : relier les communautés scientifiques et les opérateurs de télécommunications, et rendre accessibles des infrastructures auparavant invisibles à la recherche. Le projet montre déjà tout ce qu’il devient possible d’accomplir lorsque les télécommunications et la recherche unissent leurs forces. 
 
Le RISQ, en tant que partenaire pour le Québec du Réseaux national de recherche et d’éducation (RNRE) canadien, suit ces développements avec beaucoup d’intérêt. Ils démontrent tout le potentiel que représente l’utilisation collaborative de nos réseaux pour soutenir la science, ici comme ailleurs. 
 
En savoir plus sur le projet SUBMERSE (Article en anglais)